Le noisetier de Byzance est un arbre caduc à tronc droit. Avec ses 35 m de haut, il peut avoir 330 ans. Ses noisettes sont comestibles comme celles de notre noisetier indigène (Corylus avellana), mais un peu plus petites. Sa répartition naturelle s’étend de la péninsule des Balkans à l’Asie mineure, et au-delà du Caucase jusque dans l’Himalaya. Il préfère les endroits ensoleillés à mi-ombragés, surtout avec des sols profonds et calcaires.
En 1582 déjà, les premiers exemplaires en provenance de Constantinople (Istanbul) sont arrivés en Europe centrale et ont été plantés dans des jardins en Autriche. Vu ses exigences modestes et sa tolérance aux pollutions atmosphériques, le noisetier de Byzance est aujourd’hui utilisé dans bien des villes d’Europe comme arbre de parc et de rue. Il apprécie beaucoup le chaud et résiste donc bien à la sécheresse et à la chaleur. Tolérant le gel jusqu’à –38 °C, il est toutefois sensible au sel de voirie.
Arbres
Le noisetier de Byzance est un arbre caduc à tronc droit. Avec ses 35 m de haut, il peut avoir 330 ans. Ses noisettes sont comestibles comme celles de notre noisetier indigène (Corylus avellana), mais un peu plus petites. Sa répartition naturelle s’étend de la péninsule des Balkans à l’Asie mineure, et au-delà du Caucase jusque dans l’Himalaya. Il préfère les endroits ensoleillés à mi-ombragés, surtout avec des sols profonds et calcaires.
En 1582 déjà, les premiers exemplaires en provenance de Constantinople (Istanbul) sont arrivés en Europe centrale et ont été plantés dans des jardins en Autriche. Vu ses exigences modestes et sa tolérance aux pollutions atmosphériques, le noisetier de Byzance est aujourd’hui utilisé dans bien des villes d’Europe comme arbre de parc et de rue. Il apprécie beaucoup le chaud et résiste donc bien à la sécheresse et à la chaleur. Tolérant le gel jusqu’à –38 °C, il est toutefois sensible au sel de voirie.
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